Je t’aime, je t’aime pas
Deuxième et dernière fournée de tomes pour l’avoir complète en juste deux sorties. C’est sympa aussi même si ensuite il va tomber dans l’oubli très certainement…
Bien que très classique, le titre continue de me séduire par ses petites touches qui changent que ce soit dans l’utilisation importante des personnages secondaires sur lesquels je reviendrai ou pour débuter ici dans la manière de traiter de la jalousie dans le couple. J’ai tellement aimé voir une héroïne qui ne perd pas son temps à nous créer de faux quiproquos ou fausses appréhensions et qui va droit au but, soulevant frontalement le problème avec son petit ami. Décidément la communication est vraiment la clé et ça ne rend pas une histoire moins intéressante en tuant le drama.
Mais dans ce tome, ce n’est pas vraiment de Taichi et Mio dont il est question , mais plutôt de Marui, l’ami et confident de Mio qui est aussi amoureux d’elle, et l’amie d’enfance de Taichi. Tous deux avaient le potentiel de bons rivaux amoureux à nos héros mais nous l’autrice fait un autre choix que je salue. Marui cache ses sentiments et vit seul son amour sans retour. Akane, elle, a craqué pour elle. C’est une première et comme toute première elle est hyper maladroite. C’est donc très mignon et à la fois douloureux à suivre car sans issue pour le moment, chacun ses donnant à fond dans ses amours sans voir trop l’autre, mais des promesses sont là et on a envie de les voir heureux.
En bref
Toujours pas de révolution dans un titre qui se veut classique et l’assume joliment. On aime voir nos héros s’affirmer dans leur couple, surmontant les jalousie par le dialogue et on aime voir de nouveaux couples en devenir en pleine ébauche douloureuse et maladroite sur fond de club de basket. Ça fleure bon la jeunesse.
Positif
Les personnages secondaires ont une jolie place
Une ambiance douce et mignonne
De belles couvertures
Une patte graphique
Negatif
Rien de révolutionnaire
Un scénario vu et revu
Des héros au second plan
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