Christophe Bec sans monstres, sans fin du monde et sans 150 protagonistes, ça donne ça : une histoire originale avec un héros humain (qui a besoin de se masturber de temps en temps) et attachant.
Le rythme est bon et l'ambiance est oppressante quand il le faut.
La fin de ce tome 2 laisse le héros en très fâcheuse posture et on se demande vraiment comment il va s'en sortir. Les 'visions' qu'il a eu sont-elles un prélude à un basculement dans le fantastique ? Si tel est le cas, espérons que cette série au dessin soigné saura garder sa crédibilité et sa cohérence.
En bref
8
nalojolan
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