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Critique de The Royal Doll Orchestra #1

par Miawka le lun. 19 juil. 2010

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Attendue par beaucoup, voici enfin la nouvelle série de notre Kaori Yuki préférée! The Royal Doll Orchestra offre à ses lecteurs une nouvelle plongée dans l'univers gothico-dérangeant mais Ô combien superbe et délectable de la mangaka, et ce, pour une durée de cinq tomes. Après les anges, les fées, les contes et les vampires, voici que la talentueuse auteur à l'imagination inépuisable traite des morts-vivants. Encore une fois, les personnages ne connaissent pas de happy end mais une fin plutôt in-enviable dans un monde très torturé que l'on aime à découvrir. Et ce n'est pas le groupe de l'Orchestra qui va nous faire penser le contraire. Envoûtants, effrayants, mystérieux, impossible de ne pas être intrigué par une palette si variée de beaux gosses à la personnalité détonante et d'âmes torturées ou aimant torturer. Rutile ne sera d'ailleurs pas sans rappeler Ludwig, autre personnage de Mlle Yuki, héros du très bon Ludwig Revolution. Que ce soit par leur physique ou leur caractère, les deux hommes se ressemblent énormément. Le manga vient à peine de commencer que l'on ressent déjà toutes les possibilités d'un scénario riche et original en tous points comme seule Kaori Yuki sait les faire. Avec un graphisme toujours aussi beau et sans défauts, c'est une histoire prometteuse que l'auteure met en avant. Encore une fois, la sauce prend et on ne peut que s'impatienter de connaître la suite. On notera également la superbe édition de Tonkam qui soigne toujours ses titres et en particulier ceux de leur mangaka fétiche. The Royal Doll Orchestra, que l'on soit fan ou pas, est un objet de collection à posséder dans sa bibliothèque!

En bref

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