Ce tome 10 est très dur.
Il fait souffler le chaud et le froid sur l’héroïne.
Chaleur d’un nouveau foyer, d’un nouvel homme, d’un nouvel amour, et d’une vie de famille recomposée.
Chaleur de cette prise de risque, à nouveau, pour défendre un centre de jeunes en perdition, pour s’investir, s’aventurer.
Et froideur ensuite, de ce qui arrive, comme un destin à jamais perturbé, à jamais attiré par la noirceur et le malheur.
Le dessin alterne entre douceur et froideur, récit et folie et permet de participer à la tragédie qui se noue ?
Les couleurs sont bien choisies par ambiances plus que par coloris, vacances, vie réelle, enfermement, folie.
Le tout donne à ce tome une réelle personnalité au sein de la série qui aurait plutôt tendance à fondre les interprétations des dessinateurs dans un tout.
Un bon tome pour une excellente série donc.
En bref : le destin poursuit l’héroïne de sa noirceur sur une illustration sensible et adaptée.
En bref
En bref : le destin poursuit l’héroïne de sa noirceur sur une illustration sensible et adaptée.
7
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