« Ce que nous pouvons changer pour le bien de tous, nous devons le faire, ce que nous ne pouvons éviter, nous devons l’accepter… », ainsi parle un nganga, sorcier guérisseur, qui voit passé, présent et avenir dans une même image.
C’est un peu l’univers de la série.
La vision de tous les destins possibles et finalement la presque conclusion que les branches des possibles ramènent peu ou prou des mêmes causes aux mêmes effets.
On sait donc Ellen sur la branche africaine de son destin, et nous parcourons avec elle ses visions et l’étendue de ses culpabilités.
Pour finir dans un état identique au tome 12 mais par d’autres chemins.
Le dessin est simple, stylisé comme un peu flou.
De superbes pages dans les tons bleutés (10 à 13) permettant d’en profiter pleinement.
De la même façon, ce dessin convient bien au voyage onirique d’Ellen.
Le scénario est pour moi un peu en dessous, un peu trop verbeux, par exemple la déclamation de Dylan est un peu décalée et superflue.
En bref : aventures oniriques sur un dessin simple et adapté.
En bref
aventures oniriques sur un dessin simple et adapté.
6
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