On se doutait depuis quelques tomes de la vérité qui se fait jour dans ce dernier opus concernant l’identité du père du scorpion.
Qu’importe, l’histoire est vive, familiale, cruelle et édifiante.
On semble y lire l’histoire du monde, la manière dont se bâtissent les empires, là où les sentiments n’ont plus place face à l’accession et au maintien du pouvoir.
La vie du scorpion est dramatique et complexe et ce n’est pas l’importance plus grande prise encore dans ce tome 10 par les personnages féminins qui va la lui simplifier.
Le dessin est vif, précis, explosant dans les cases, dans le cabrement d’un cheval ou l’étreinte pastel de corps d’aquarelle.
A travers nombre de retours arrières, bien insérés dans le récit, on comprend les raisons de chacun des acteurs de ce passé trouble et difficile pour le Scorpion.
Un bon tome pour une série qui ne déçoit pas.
En bref
7
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