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Critique de Les tuniques bleues #56

par Auray le sam. 22 déc. 2012 Staff

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Les tuniques bleues repartent au combat pour la 56ème fois dans cette guerre de sécession, mais cette fois-ci, le sergent Chesterfield va un peu trop loin dans la taquinerie envers le Caporal Blutch, et s’attaque à son bien le plus cher, la vengeance de celui-ci n’en sera que plus terrible… Il s’agit ici d’un album phare, immanquable pour les fans de la série et de M. Cauvin, ne serait-ce que pour la suite d’une petite histoire dans la grande des débuts de nos deux acolytes dans l’armée du tome 18, Blue rétro. Sinon, rien de changeant à l’horizon du western, les dessins de M. Lambil font honneur et transpirent de son expérience, le tout moderne, grâce aux couleurs de Léonardo. Depuis 1972, la série ne cesse de se renouveler au niveau du scénario pour notre plus grand plaisir, et toujours avec une petite morale sans prétention quand on referme avec regret sur cette guerre sans fin… entre nos deux amis.

En bref

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