Furya est une série difficile à cerner et qualifier. Elle montre autant d’humanité que de monstruosité, de beaux sentiments que de gore sanguinolent.
On y suit le destin d’une créature issue de la mort et de la transformation d’une jeune fille.
Ce monstre végétal qu’elle est devenue se nourrit de chair humaine prélevée copieusement sur tout être humain qui l’approche.
Dans cet opus, des chercheurs de trésor viennent la déranger dans le sous-marin allemand qui sert de sépulture à son père adoptif (voir tome 1) et s’ensuit alors pour elle un voyage de déshydratation à l’autre bout du monde.
Le dessin se partage entre vision réaliste et classique des paysages et des personnages rencontrés et transformation d’Eva/Furya en monstre déchiqueteur, ceci avec moins d’exagération qu’au premier tome cependant.
Une série et un tome qui me laisse toujours un sentiment mitigé, n’étant pas sur du pourquoi je l’apprécie.
En bref
6
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