Pacifique, dit Paci, roule ; vite ; sans amasser ni mousse, ni rousse, ni remord, ni regret.
S’en sortir il a essayé, dans le tome 1.
Il semble lassé, résolu à replonger, mais avec une arrière-pensée.
La narration est ainsi : fractionnée, sans trace évidente de haine ou d’hostilité, d’une efficacité sans faille.
Le dessin est vibrant, vrombissant. Les couleurs s’atténuent et se ravivent au gré du récit et des sentiments qu’il véhicule.
Plus profond, plus torturé, ce deuxième tome tient ses promesses.
La conclusion dans le tome 3 s’annonce triste et mouvementée.
Un récit dense autour d’un personnage fort et circonspect. Une réussite.
En bref
8
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