Ce 3e tome raconte ce qui s’est passé après les célèbres travaux (avec quelques retours en arrière sous forme de cauchemars) jusqu’à la mort d’Herakles.
Les graphismes d'Edouard Cour renforcent la noirceur de son récit sans épargner personne : depuis Herakles "brute" de fonderie et quelques dieux plus ou moins sympathiques ou monstrueux, mais l’auteur semble épargner les femmes qui oscillent entre victimes et bienfaitrices. La colorisation est toujours aussi vive et lumineuse avec beaucoup de jaune.
Cette série mérite tous les superlatifs pour la décrire et elle est indispensable dans toutes les BDthèques.
En bref
Un 3e tome qui referme en beauté une série exceptionnelle tant par ses graphismes que par son propos.
9
ginevra
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