En bref : Alix vieillit mais ne perd rien de sa vivacité d’esprit et de corps et le superbe dessin donne un nouveau souffle à ses aventures.
Ce tome 4 initie semble-t-il un nouveau cycle en transportant Alix et ses deux fils en Grèce.
Sur la base de faits historiques, les auteurs tissent un scénario efficace de complot, avec, œuvrant dans l’ombre, Numa Sadulus, le double de papier de l’historien et exégète de la BD, Numa Sadoul.
Les dessins sont superbes, plus contemporains, épiques, hollywoodiens que la série mère, et c’est comme une deuxième jeunesse d’un Alix pourtant grisonnant, et désormais plutôt quinqua que jeune éphèbe.
Une dimension potentiellement ésotérique est évoquée à la fin, ce qui pourrait rajouter une dimension originale à cette spin-off.
Au final cette série est une réussite s’appuyant sur de solides bases historiques en ayant su renouveler l’approche et le dessin.
En bref
7
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