C’est un récit plein de bruit et de fureur que ce tome 4.
On y suit la trace ensanglantée d’un fils devenu une arme dans l’esprit machiavélique de son père.
Nous sommes cette fois en pleine antiquité, entre Corinthe et Rome.
Une jeune sculptrice prend un jeune garçon prometteur sous son aile.
La prise de Corinthe par les armées romaines, le sac qui en résulte, voit la mort du jeune garçon et la souffrance pour la jeune fille.
Elle décide de poursuivre sa vengeance jusqu’à Rome, utilisant ses charmes et se mêlant à la politique et au pouvoir, sans bien en comprendre les conséquences.
Le dessin est dans le ton du récit.
Les traits des personnages sont durs, l’ambiance est sombre, les ombres portées assombrissent les cases et densifient l’impression de sauvagerie de la période et des personnages.
Education et vengeance s’entrecroisent pour donner au lecteur fond et forme au récit.
En bref
7
Qu'avez-vous pensé de cette critique ? 0 0
Laissez un commentaire
Commentaires (0)