Nouveau scénariste pour ce tome 21 en la personne du romancier Eric Giacometti, que l’on connaît par exemple pour ses livres policiers avec Ravenne, concernant le commissaire franc-maçon Antoine Marcas.
Giacometti a décidé de réorienter la série vers la finance.
Il donne aussi à Largo Winch, à travers l’image renvoyée par les réseaux sociaux, un peu plus de dualité, en allant au-delà de l’image lisse et sympathique du milliardaire altruiste et social.
Un milliardaire humaniste cela n’existe pas et ce tome remet Largo face à ses contradictions.
Ce tome 1 de ce qui devrait être un diptyque est très bien conçu, mêlant des faits réels sur les superordinateurs qui manipulent les bourses et la fiction nécessaire à faire de Largo une sorte de James Bond du monde financier qui s’en sort toujours sans trop de casse personnelle.
Le forma des trois derniers tomes fait ressortir le travail tout en finesse et précision de Francq.
Avec ce titre, l’édition commentée avec les crayonnés devrait être intéressante pour comprendre le travail de ce dessinateur de talent qio est arrivé à sa pleine maturité artistique.
En bref
7
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