Assez étrange ce sixième tome.
On s’éloigne de plus en plus de Rome pour poursuivre le rêve fou de puissance du fils adoptif d’Alix, sur les traces d’Alexandre le Grand.
Si l’histoire se tient, on a du mal à voir une suite logique, une continuité, une cohérence, même en relisant les anciens tomes.
Le dessin est superbe, particulièrement réussi ainsi que la mise en couleur pour les scènes nocturnes.
Le cahier de fin, didactique, permet de faire la part des choses entre l’histoire et les ajouts du scénariste.
L’édition avec dos toilé rajoute un côté vintage en plus de sa qualité d’édition.
Superbes dessins donc, avec une histoire qui gagnerait selon moi à se focaliser pour arriver au terme d’un deuxième cycle.
En bref
6
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