Avec « Le chien de Dieu », les auteurs nous proposent un un portrait de louis-Ferdinand Céline complexe et nuancé ; Entre la rigueur du labeur d’écrivain, et les errements fantasmagoriques d’un être névrosé.
Le dessin est à l’avenant, complexe sans en avoir l’air ; Dans la rigueur du trait qui refuse la couleur.
C’est un récit intérieur qui râpe, comme les phrases privées d’article.
C’est un récit qu’on a du mal à aborder, avec tout ce qui nous a été rapporté de l’homme.
C’est finalement un récit plus profond et introspectif, dans l’intimité d’un être exceptionnel ; L’exception pourtant ne rend pas plus naturelle la compréhension, l’oubli ou le pardon.
Un bien bel ouvrage qui met quelques évènements en perspective.
La période fut noire et terrible.
L’écrivain aussi, comme bien d’autres êtres humains de ce temps.
En bref
7
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