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Critique de Fatale #5

par Blackiruah le ven. 3 juil. 2015 Staff

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« Fatale » arrive à sa conclusion avec ce cinquième volume. Nous retrouvons ainsi Nicolas en mauvaise posture face à Lance qui l’avait capturé pour attirer Josephine près de lui. Le plan fonctionnera (d’une certaine manière), ce qui entrainera le retour au premier plan de la mystérieuse héroïne. A l’instar des précédents volumes, le ton polar/fantastique nous immerge dans cette conclusion passionnante. Contrairement aux tomes précédents, Ed Brubaker met en scène une Josephine très active, déterminée à mettre fin à sa malédiction. Paradoxalement, c’est Nicolas qui devient l’élément passif, mettant la femme au-dessus de tout ce marasme. La symbolique est forte et subtilement amenée. De même, la lecture est fluide grâce à un rythme effréné qui nous ballade entre révélations et scènes d’action. Cerise sur le gâteau, l’auteur répond à tous les mystères qui se tramaient dans la série. De même, Sean Phillips est comme un poisson dans l’eau à travers ce style noir qui traduit une ambiance poisseuse parfaite pour « Fatale ». L’artiste est surement ce qui se fait de mieux dans le genre. Et il le démontre une nouvelle fois. Au final, « Fatale » est un polar noir passionnant qui met en scène une mystérieuse femme aux pouvoirs ensorcelants mais dangereux entrainant des complications dans la vie de cette dernière. Le duo d’auteurs nous fera voyager à travers les âges pour saisir le pourquoi du comment avec des récits glauques basculant au fur à mesure dans le fantastique (lorgnant sur le lovecraftien). Delcourt détient, sans aucun doute, un des fleurons du genre. Alors avis aux amateurs : c’est un incontournable !

En bref

« Fatale » arrive à sa conclusion avec ce cinquième volume. Nous retrouvons ainsi Nicolas en mauvaise posture face à Lance qui l’avait capturé pour attirer Josephine près de lui. Le plan fonctionnera (d’une certaine manière), ce qui entrainera le retour au premier plan de la mystérieuse héroïne. A l’instar des précédents volumes, le ton polar/fantastique nous immerge dans cette conclusion passionnante. Contrairement aux tomes précédents, Ed Brubaker met en scène une Josephine très active, déterminée à mettre fin à sa malédiction. Paradoxalement, c’est Nicolas qui devient l’élément passif, mettant la femme au-dessus de tout ce marasme. La symbolique est forte et subtilement amenée. De même, la lecture est fluide grâce à un rythme effréné qui nous ballade entre révélations et scènes d’action. Cerise sur le gâteau, l’auteur répond à tous les mystères qui se tramaient dans la série. De même, Sean Phillips est comme un poisson dans l’eau à travers ce style noir qui traduit une ambiance poisseuse parfaite pour « Fatale ». L’artiste est surement ce qui se fait de mieux dans le genre. Et il le démontre une nouvelle fois. Au final, « Fatale » est un polar noir passionnant qui met en scène une mystérieuse femme aux pouvoirs ensorcelants mais dangereux entrainant des complications dans la vie de cette dernière. Le duo d’auteurs nous fera voyager à travers les âges pour saisir le pourquoi du comment avec des récits glauques basculant au fur à mesure dans le fantastique (lorgnant sur le lovecraftien). Delcourt détient, sans aucun doute, un des fleurons du genre. Alors avis aux amateurs : c’est un incontournable !

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