Un 3e tome qui entremêle les fils de l'histoire de façon compliquée

Dorian n'arrivera pas en Perse sur son flamant car il est abattu par un archer nain affamé. Étonné de trouver le pendentif de sa bien-aimée Yisselda dans les Balkans. Il ose aller dans la forteresse du dieu fou où il sera attaqué par des granbretons, puis par une troupe de guerrières menée par Yisselda. Est-ce bien elle ou une illusion due à la magie du vieil homme?

La quête du Duc Dorian se complique encore un peu plus, mais, comme les autres héros de Michaël Moorcock, il semble avoir trouvé un bon compagnon pour l'accompagner… quoique la fin de l'album fait craindre le pire pour la suite.

Les graphismes continuent d'être de grande qualité avec des personnages expressifs, des paysages intéressants et des découpages de cases souvent hardis pour mettre en valeur la dynamique des combats et les gros plans sur les visages.

Ne connaissant pas le cycle de romans, je ne peux pas juger de la fidélité de l'adaptation, mais je trouve cette série passionnante.