Mikédi va avoir de plus en plus de raisons de haïr Musashi : 2 longues années passées à trimer dans les cuisines d’un fabuleux restaurant, puis 2 autres années pour découvrir les plaisirs de la chair. Quand, enfin, il lui met un sabre entre les mains pour combattre, c’est pour défendre une secte hérétique face aux troupes de l’empereur !
Le scénario de Mathieu Mariolle nous emmène doucement vers la fin de l’apprentissage de Mikédi, ou plutôt vers la fin telle que le pense Mikédi. Quelques péripéties importantes pour la suite sont mises en place.
Les dessins de Federico Ferniani sont toujours aussi somptueux avec des doubles pages aux splendides paysages, des femmes sublimes (normal au vu de l’apprentissage de 2 années dans une maison de plaisirs), des combats impressionnants. La colorisation de Luca Saponti concourt efficacement à rendre douceur ou cruauté ou violence.
Un 2e tome qui tient les promesses du 1e. Vivement le dernier !
Une critique pour l’éditeur : il est désagréable que le massicotage des pages coupe certaines bulles en rendant leur lecture difficile pour certaines grandes pages sans marges (pages 16, 17 et 27).
En bref
8
ginevra
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