La sorcière de Bergheim

historique

En juillet 1607, Magritte Sprenger se rend à la ville de Bergheim, à la convocation d’un notaire. Cette mère célibataire et garde-malade, qui habite hors les murs, se retrouve chez le notable en même temps que Guillaume Zell, le neveu de Steffan Schott, dont elle s’est occupé avant sa mort. Dans son testament, feu le vigneron lègue presque plus de ses biens et de ses terres à Magritte qu’à Guillaume. Celui-ci s’insurge et la traite d’intriguante et de putain ! Le notaire atteste du sérieux du testament, qui fait foi. Le neveu repart frustré et colérique, fomentant une ignoble vengeance. Car à cette époque, les procès en sorcellerie sont prospères. Le manuel Malleus Maleficarum destiné aux inquisiteurs est à l’origine de nombreuses « enquêtes » : une accusation vaut une séance de torture, durant laquelle les « coupables » doivent avouer avoir pactisé avec le malin pour faire cesser les souffrances. Et une fois les aveux prononcés, la coupable est rasée et menée sur un bûcher pour être brûlée sur la place publique. Le moine chevalier Sainte-Foy a bien conscience du caractère absurde, inique et cruel de ces méthodes. Mais s’en indigner auprès de ses pairs revient à être considéré comme un hérétique…

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La sorcière de Bergheim édition Simple
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